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En grammaire française, on divise la phrase en groupes de mots. Un de ces groupes est la proposition qui peut être indépendante ou subordonnée. Dans une phrase, il y a la proposition principale et la proposition subordonnée.

Celui-ci comprend les propositions subordonnées. Il y a les subordonnées relatives, qui décrivent quelque chose sur le nom ou le pronom devant elles. Les subordonnées complétives complètent le sens d’un verbe ou d’un nom. Puis, nous avons les subordonnées circonstancielles qui indiquent une circonstance de l’action.

Introduction aux propositions subordonnées

La langue française est riche en subtilités, notamment avec les propositions subordonnées. Ces éléments grammaticaux offrent des moyens pour exprimer des idées liées de manière complexe. Ils ajoutent de la profondeur à l’écriture et à la parole.

Définition de la proposition subordonnée

Une proposition subordonnée accompagne une proposition principale. Elle ajoute de l’information ou éclaire sur celle de la proposition principale. Ainsi, elle renforce le sens général de la phrase.

Importance des propositions subordonnées dans la langue française

En français, les propositions subordonnées sont cruciales pour lier les idées entre elles. Elles offrent la possibilité d’exprimer des pensées complexe et nuancées. Savoir les utiliser enrichit l’expression écrite et orale.

Propositions subordonnées relatives

Les propositions subordonnées jouent un rôle clé dans la création de phrases plus compliquées en français. Parmi elles, les propositions subordonnées relatives tiennent une place importante. Elles commencent par un pronom relatif (comme qui, que, dont, où, lequel) et se lient à un nom, qui est leur antécédent.

Utilisation des pronoms relatifs

Les pronoms relatifs aident à lier la proposition subordonnée à son antécédent. Le choix du pronom dépend de la fonction de la proposition relative dans la phrase.

Fonction des subordonnées relatives

Les propositions subordonnées relatives servent souvent à décrire un nom, comme un adjectif épithète ou un apposé. Elles enrichissent la phrase en ajoutant des détails ou en qualifiant le nom.

Exemples de subordonnées relatives

Regardons quelques exemples pour mieux comprendre les propositions subordonnées relatives :

  • “J’aime ce gâteau qui est particulièrement moelleux.”
  • “J’ai rencontré ce candidat qui était excellent.”
  • “Je préfère cette radio qui diffuse moins de publicités.”

Propositions subordonnées complétives

Les propositions subordonnées complétives sont clés dans la structure de la phrase. Elles rendent la grammaire riche et complexe. Cela apporte de la profondeur à vos écrits.

Subordonnées complétives conjonctives

Une proposition subordonnée complétive conjonctive commence avec “que”. Elle ajoute des informations à propos du sujet, directement ou indirectement. Par exemple, “Il pense que l’équipe va gagner.” ou “Elle est contente que tu viennes.”

Subordonnées complétives interrogatives indirectes

Les propositions subordonnées complétives interrogatives indirectes montre une question qui n’est pas posée directement. Elle commence avec des mots questionnants comme “si” ou “pourquoi”. Par exemple, “Je veux savoir si elle a réussi son examen.” “Il se demande pourquoi elle est partie si vite.”

Subordonnées complétives exclamatives indirectes

Certaines propositions subordonnées complétives expriment une exclamation sans l’indiquer directement. Elles incluent des mots excités comme “combien” ou “quel”. Par exemple, “Que c’est beau, cette vue !” ou “C’est extra comme il chante !”

Subordonnées infinitives

Une proposition subordonnée infinitive commence avec un verbe à l’infinitif. Elle joue le rôle d’un complément d’objet direct. Les verbes de perception l’introduisent. Par exemple, “Il adore la voir nager.” “Elle préfère les entendre chanter.”

Propositions subordonnées circonstancielles

Les propositions subordonnées circonstancielles sont clés pour créer des phrases riches. Elles ajoutent des détails sur le moment ou la raison d’une action.

Subordonnées circonstancielles de temps

Les subordonnées de temps parlent de quand quelque chose se passe. On les introduit souvent avec des mots comme “quand” ou “dès que”. Un exemple : “Nous allons à la rivière dès qu’il fait beau.”

Subordonnées circonstancielles de cause

Ces subordonnées expliquent pourquoi une action est faite. Les mots “parce que” ou “comme” sont souvent utilisés pour les introduire. Exemple : “Alain est affamé parce qu’il n’a rien mangé hier.”

Subordonnées circonstancielles de conséquence

Elles montrent les résultats des actions. Des mots et des expressions comme “si bien que” ou “tant et si bien que” les introduisent.

Autres types de subordonnées circonstancielles

Les subordonnées peuvent aussi exprimer la comparaison, la condition, le but, la concession ou l’opposition. On utilise alors des mots adaptés pour les introduire.

Liens sources