Catégorie : Actualités

  • L'avenir de l'écriture : l'impact de l'IA dévoilé par John Warner
    Publié le  9 mars 2025

    L’avenir de l’écriture : l’impact de l’IA dévoilé par John Warner

    Redéfinir l’écriture à l’ère de l’IA : l’éclairage de John Warner Quel chemin fascinant l’écriture est-elle en train d’emprunter avec l’avènement de l’intelligence artificielle ? John Warner, dans son analyse publiée sur Substack, nous offre un regard captivant sur ce sujet. Le questionnement autour de l’impact de l’IA sur nos capacités littéraires met notamment en avant les enjeux pédagogiques contemporains et bouscule les conceptions traditionnelles de l’éducation. Imaginez un monde où les algorithmes pourraient potentiellement écrire des romans ou des essais avec la même aisance que les auteurs humains. Cela semble tiré d’un roman de science-fiction, non ? Pourtant, cette perspective est de plus en plus tangible. Aujourd’hui, l’intelligence artificielle n’est plus une simple intrigue de récit futuriste ; elle est bien réelle et s’immisce dans nos pratiques quotidiennes, transformant notre manière d’aborder l’éducation et l’écriture. Le paradoxe de l’automatisation littéraire Warner souligne que l’automatisation de l’écriture pourrait exacerber paradoxalement nos capacités à exprimer librement notre pensée. C’est un dilemme fascinant: Comment l’IA peut-elle à la fois enrichir notre processus créatif tout en risquant de le restreindre ? Pour répondre à cette question, il est essentiel de comprendre que l’IA offre, certes, des outils puissants pour simplifier la rédaction, accéder rapidement à l’information et expérimenter des styles d’écriture variés, mais elle ne remplace pas la créativité humaine, ni la profondeur des émotions qu’un écrivain transmet à travers ses mots. Prenons Stewdy, par exemple. Voici une IA qui ne se contente pas de donner des réponses génériques mais inclut dans son algorithme des éléments du programme scolaire français. Elle s’efforce d’incorporer des méthodes pédagogiques innovantes, comme la « Réflexion guidée », pour générer une interaction riche et stimulante avec les élèves. Cela montre que, bien utilisée, l’IA peut devenir un allié précieux dans le processus éducatif, en apportant une touche humaine à son interaction. Maitriser la magie de l’écriture Dans un monde où l’information déborde de tous côtés, il est de plus en plus crucial de renforcer notre capacité à discerner et interpréter les informations. Warner s’alarme du risque de superficialité induit par une dépendance excessive aux technologies. En réalité, notre défi actuel n’est pas tant d’ignorer ces technologies, mais de les utiliser comme des outils pour affûter notre esprit critique. Le mode « Socratique » proposé par Stewdy illustre bien cette approche. Plutôt que de se reposer uniquement sur des réponses toutes faites, cette fonction encourage les jeunes à explorer les sujets en profondeur, presque comme s’ils avaient Socrate comme professeur à domicile, les incitant à cheminer par eux-mêmes à travers les nuances et les complexités des débats ou des phénomènes d’étude. Les moindres mots : récits et implications Pourquoi est-ce si important ? En tant que société, notre capacité à analyser, à discuter et à remettre en question les vérités perçues soutient toute la structure de notre démocratie. À travers l’acquisition et la maîtrise de diverses expressions écrites, Warner insiste sur le fait que nous pouvons mieux comprendre le passé, négocier le présent et façonner l’avenir. Regardons autour de nous. L’évolution technologique nous met au défi, mais elle nous donne aussi une occasion unique d’élargir notre horizon intellectuel si nous savons tirer parti des outils mis à notre disposition. Par exemple, Stewdy nous démontre que l’IA, au-delà de simplement fournir des informations, peut personnaliser les échanges didactiques en tenant compte des passions des élèves. Qui aurait imaginé conjuguer sciences éducatives et passions personnelles pour stimuler un amour durable de l’apprentissage ? Warner nous invite finalement à considérer l’IA non pas comme un simple assistant technique, mais comme un potentiel amplificateur humain, ouvrant ainsi la voie à une hybridation enrichissante entre la technologie et le patrimoine littéraire. Les perspectives sur l’avenir de l’écriture sont prometteuses et invitent à l’exploration. Tandis que nous naviguons dans ce monde où l’IA devient omniprésente, il est encourageant de voir comment, grâce à des plateformes novatrices comme Stewdy, nous pouvons recueillir les fruits d’une intelligence qui ne tient pas seulement compte des faits, mais de la façon dont ces faits peuvent enrichir la pensée humaine. L’écriture est, et restera, plus qu’un simple assemblage de mots ; elle est une fenêtre sur notre capacité infinie à comprendre le monde et à façonner nos récits personnels. Source https://nickpotkalitsky.substack.com/p/john-warners-more-than-words-and/
  • Découvrez comment l'IA révolutionne la lutte contre le décrochage scolaire
    Publié le  8 mars 2025

    Découvrez comment l’IA révolutionne la lutte contre le décrochage scolaire

    L’intelligence artificielle: un soutien nouveau dans la lutte contre le décrochage scolaire Imaginez un monde où l’on pourrait prédire, avec une grande précision, quels élèves risquent d’abandonner l’école avant la fin de leur cursus. Cela semble tout droit sorti d’un film de science-fiction, n’est-ce pas ? Et pourtant, cette réalité est en train d’émerger au sein d’établissements scolaires grâce à l’intelligence artificielle. Dans le tournant que prend l’éducation ces dernières années, l’IA est devenue un allié inédit pour anticiper le décrochage scolaire. L’initiative que nous allons explorer est celle du Centre de services scolaire (CSS) des Phares, qui a récemment informé les parents de l’intégration prochaine de l’IA dans leurs écoles. Cette technologie ne cherche pas simplement à identifier *combien* d’élèves sont à risque, mais *lesquels* le sont afin de pouvoir intervenir rapidement et efficacement. Nancy Prévéreault, directrice générale du CSS des Phares, a décrit cette technologie comme un outil de prévention puissant qui viendra soutenir le personnel scolaire dans leurs interventions préventives. Fonctionnement de l’outil de prévision du décrochage L’algorithme utilisé par ces écoles se nourrit des données que le CSS possède déjà. Cela inclut des informations personnelles obtenues lors de l’inscription des élèves et tout au long de leur parcours éducatif, comme le lieu de naissance, les difficultés d’apprentissage, la langue parlée à la maison, et même certains comportements. C’est impressionnant, n’est-ce pas ? Mais cela pose aussi des questions éthiques, surtout concernant le traitement et la protection de ces données. L’un des atouts majeurs de cette méthode est la capacité de l’IA à croiser différentes données pour dégager des tendances et identifier des facteurs de risque. Selon une brochure du ministère de l’Éducation, ces informations clés permettront d’élaborer des stratégies plus pertinentes pour prévenir l’abandon scolaire. Toutefois, bien que toute cette technologie mette des étoiles dans les yeux des éducateurs, elle ne doit pas être acceptée sans poser des questions cruciales sur la protection et l’utilisation des données personnelles. Les défis éthiques et la vigilance nécessaire Sur le plan éthique, cette initiative soulève quelques inquiétudes légitimes. Hazar Haidar, professeure adjointe à l’Université du Québec à Rimouski, souligne que les algorithmes de prédiction peuvent être biaisés. Une surévaluation ou une sous-évaluation des chances de décrochage pourrait survenir, engendrant des décisions potentiellement injustes. En d’autres termes, un élève ne doit pas être étiqueté trop rapidement comme « à risque ». Et puis, il y a, bien sûr, la question de l’utilisation des données personnelles. Bien que le consentement des parents ne soit pas requis, ils peuvent tout de même demander une copie des informations recueillies sur leurs enfants. Le CSS des Phares affirme néanmoins que ces données seront protégées soigneusement et restent sous la vigilance de professionnels formés. En toute transparence, pour apaiser les questions des parents préoccupés, Nancy Prévéreault réaffirme avec conviction que l’implication de l’intelligence humaine reste centrale. **Il ne s’agit pas là de confier aveuglément notre avenir aux machines !** Regard vers l’avenir L’ambition du ministère de l’Éducation du Québec est claire : une intégration de ce système à l’échelle provinciale d’ici 2024-2025, après un premier essai dans plusieurs établissements. Pour les sceptiques, une question se pose : cette technologie est-elle vraiment la solution au décrochage scolaire, ou risquons-nous de prendre le problème par le mauvais bout en ne se souciant pas assez de l’expérience humaine dans l’éducation ? Et si l’IA formait aussi les esprits ? Dans le contexte français, Stewdy s’intéresse lui aussi de près à l’utilisation de l’intelligence artificielle comme un outil éducatif. Conçu pour compléter l’enseignement scolaire par une approche personnalisée, Stewdy pourrait être un pont vers une meilleure persévérance scolaire en rendant l’apprentissage plus engageant et adapté à chaque élève. Avec des fonctionnalités comme le mode « Réflexion guidée » pour stimuler la réflexion critique, et la personnalisation des contenus en fonction des passions des élèves, Stewdy applique une approche centrée sur l’élève. Comme une nouvelle étoile dans le ciel de l’éducation, elle prend en compte l’importance de l’intelligence humaine pour garantir que l’outil ne devienne jamais uniquement mécanique. Un horizon passionnant mais à explorer prudemment Ainsi, supprimer le décrochage scolaire grâce à la technologie pourrait être le prochain grand pas pour nos systèmes éducatifs. Cependant, nous devons naviguer avec précaution sur le juste milieu entre innovation et éthique. Car pour chaque nouvelle technologie, il est essentiel de se rappeler que les données engendrent des questions, et que la machine, bien que brillante, ne remplace jamais l’approche humaine. Source https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2145080/ia-intelligence-ecole-decrochage/
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    Publié le  8 mars 2025

    Découvrez comment l’IA pourrait sauver les élèves du décrochage scolaire

    L’intelligence artificielle au secours des décrocheurs Imaginez un peu. Vous êtes parent d’un adolescent et vous venez de découvrir qu’il existe un outil qui pourrait potentiellement aider votre enfant à ne pas décrocher de l’école. Oui, le décrochage scolaire, ce fléau qui pèse sur les élèves, les familles et même le tissu socio-économique de notre pays. Et si l’intelligence artificielle (IA) pouvait y remédier ? La dernière initiative du Centre de services scolaire (CSS) des Phares, au Québec, tend à nous le laisser croire. Cette école innove en déployant une IA capable de prédire quels élèves sont susceptibles de décrocher, afin de leur offrir un support adapté bien avant qu’ils ne franchissent le point de non-retour. Un pas en avant vers une éducation plus personnalisée L’idée paraît simple sur le papier : croiser des données scolaires et personnelles pour identifier ceux qui pourraient être en difficulté. Le but ? Intervenir rapidement et de manière préventive. L’algorithme utilise donc des informations déjà collectées lors des inscriptions — résultats scolaires, lieu de résidence, langue parlée à la maison, etc. — et fournit ensuite un indicateur de risque. Nancy Prévéreault, directrice générale du CSS des Phares, précise que cet outil n’a pas pour vocation de remplacer les professionnels de l’éducation, mais bien de renforcer leur capacité d’intervention précoce. Ces données restent entre de bonnes mains, promet-elle, puisque leur traitement est fait par des enseignants formés, ce qui apaise en partie les craintes légitimes de certains parents. Les réserves légitimes autour de l’IA Pourtant, tout n’est pas rose dans le monde de l’IA éducative. Hazar Haidar, spécialiste en éthique à l’Université du Québec à Rimouski, soulève des inquiétudes concernant les biais algorithmiques. Si un algorithme commet une erreur, certains élèves pourraient être incorrectement étiquetés comme « à risque », ce qui peut impacter leur parcours de manière significative. Elle pose aussi une question cruciale : que se passe-t-il après l’identification ? Quelle est la marche à suivre ? Et surtout, comment assure-t-on que les données demeurent confidentielles, à l’abri de toute fuite malencontreuse ? Utiliser l’IA de manière éthique et responsable Le recours à l’IA pour le dépistage des risques de décrochage est un avantage indéniable si tant est qu’il soit correctement encadré. La prudence est de rigueur et le CSS des Phares semble déterminé à placer l’éthique au centre de ce projet. Les premières conclusions de ce programme pilote seront disponibles dès le printemps et contribueront, espérons-le, à une éducation plus inclusive et proactive. Néanmoins, l’impact à long terme de ces prédictions sur les élèves et les établissements doit encore être évalué et fera l’objet d’un suivi rigoureux. Stewdy : une IA au service des élèves Dans le même registre, en France, Stewdy se positionne comme une solution innovante pour accompagner les élèves au quotidien. Avec des fonctionnalités telles que l’importation de documents, un mode « Réflexion guidée » inspiré du modèle socratique, et une personnalisation poussée en fonction des intérêts des élèves, elle favorise un apprentissage interactif et motivant. Imaginez votre enfant travaillant ses maths tout en intégrant ses passions pour la musique ou le sport comme contexte d’application. Stewdy transcende le simple soutien scolaire en s’inscrivant comme un partenaire d’apprentissage intelligent. En conclusion, l’essor de l’IA dans l’éducation offre une lueur d’espoir face au décrochage scolaire. Des initiatives comme celles du CSS des Phares ou de Stewdy montrent que la technologie, bien utilisée, peut être un formidable allié pour repenser l’éducation de demain, en espérant qu’elle mène à des succès qui iront bien au-delà des prévisions actuelles. Source https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2145080/ia-intelligence-ecole-decrochage/
  • Les écoles révèlent leurs astuces pour impliquer les parents avec l'IA
    Publié le  5 mars 2025

    Les écoles révèlent leurs astuces pour impliquer les parents avec l’IA

    Engager les parents dans l’ère de l’intelligence artificielle L’intelligence artificielle (IA) transforme déjà notre quotidien, des applications de navigation routière aux assistants vocaux qui nous chantent les films. Mais son impact pourrait être encore plus profond dans le domaine de l’éducation. Loin de se contenter d’optimiser les plans de cours ou de corriger des tests, l’IA a le potentiel de redéfinir la collaboration entre écoles et familles. Pourtant, cette promesse ne se concrétisera que si les parents, souvent les premiers éducateurs de leurs enfants, montent à bord. Comment alors les écoles parviennent-elles à embarquer les parents dans ce voyage numérique? Comprendre les réticences parentales face au numérique Dès que l’on parle de technologie, certains parents peuvent se sentir dépassés ou effrayés. Qui parmi nous n’a jamais entendu des histoires alarmistes sur le temps d’écran ou la protection des données ? Une étude menée récemment a révélé que près de 40 % des parents s’inquiètent des effets des technologies numériques sur la santé mentale de leurs enfants. C’est un chiffre qui donne à réfléchir. Alors, pour atténuer ces craintes, les écoles doivent faire preuve de pédagogie et de transparence. Communication et implication, les maîtres-mots Beaucoup d’écoles ont saisi l’importance de la communication pour dissiper les doutes. Prenons l’exemple du district scolaire du comté de Jefferson, qui a introduit des ateliers pour expliquer les algorithmes utilisés en classe et la manière dont les données des élèves sont protégées. Lors de ces séances, les parents apprennent non seulement les bases de l’IA mais aussi comment elle est intégrée dans les programmes éducatifs de leurs enfants. D’autres écoles ont opté pour des plateformes en ligne interactives. Ces systèmes permettent aux parents de voir en temps réel les progrès de leur enfant. Imaginez une application qui enverrait un message : « Félicitations, Léa a complété son module de mathématiques! » En donnant aux parents un aperçu clair et immédiat du parcours éducatif de leur enfant, ces outils renforcent la confiance. La démarche collaborative, clé de l’engagement Mettre la technologie au service de l’éducation ne signifie pas laisser l’IA prendre les rênes sans discussions préalables. C’est pourquoi plusieurs établissements ont mis en place des comités de parents volontaires, consultés en amont de l’adoption d’une nouvelle technologie éducative. Ces comités offrent leur retour d’expérience, et parfois, ils posent les questions difficiles avant que d’autres n’aient à le faire. Une anecdote amusante : lors d’une réunion, un parent a demandé, mi-sérieux, mi-amusé, si l’IA pouvait aussi leur rappeler les anniversaires de leurs proches. Sous les rires, se cachait une véritable question sur l’intégration de la technologie dans tous les aspects de nos vies. Former les parents pour qu’ils deviennent des alliés De nombreuses écoles, conscientes que bien des parents ne sont pas familiers avec les dernières technologies, ont mis en place des ateliers de formation. Ces sessions éducatives aident à démystifier l’IA. Là où certains voyaient un écran noir plein de mystères, ils découvrent un outil conçu pour faciliter l’apprentissage. Ces formations ne s’arrêtent pas à l’aspect technique. En effet, elles offrent aussi des conseils pratiques pour aider les enfants à naviguer en ligne de façon sécurisée. Un double bénéfice donc ! Des résultats prometteurs, mais la route est encore longue On pourrait se dire qu’avec tous ces efforts, l’engagement des parents est garanti. Pourtant, en réalité, tout n’est pas toujours aussi simple. Si beaucoup se montrent enthousiastes et engagés, d’autres restent à convaincre. Mais qu’à cela ne tienne, chaque petit pas compte. Certaines écoles, en partenariat avec des start-ups éducatives, créent des réunions de démonstration en réalité virtuelle, où les parents peuvent plonger dans une journée type de leur enfant. Un bond dans le futur, non ? Enfin, bien que les technologies avancent à une vitesse folle, les concepts fondamentaux de l’éducation -comme l’appel à la réflexion critique– restent inchangés. Aujourd’hui, des outils comme Stewdy, une plateforme française innovante, illustrent comment l’intégration de l’IA, associée aux meilleures pratiques pédagogiques, peut transformer l’éducation sans la dénaturer. C’est là toute la beauté de l’IA en éducation. Avec une approche bienveillante et implicative, les écoles vont de l’avant, impliquant chaque parent un à un dans cette grande aventure. Et qui sait, un jour peut-être, les anxiétés initiales céderont le pas à l’enthousiasme collectif. Après tout, l’innovation n’est-elle pas aussi synonyme de nouvelles opportunités ? Source https://www.edweek.org/technology/how-these-schools-are-getting-parents-on-board-with-ai/2025/02
  • Découvrez les nouvelles formations IA révolutionnaires offertes par Paris School of AI
    Publié le  4 mars 2025

    Découvrez les nouvelles formations IA révolutionnaires offertes par Paris School of AI

    Une nouvelle ère pour l’éducation en intelligence artificielle à Paris Face à l’essor incroyable de l’intelligence artificielle (IA), l’Université PSL (Paris Sciences et Lettres) ne ménage pas ses efforts pour offrir des formations à la hauteur des défis actuels. Ainsi, dès la rentrée 2025, deux nouveaux parcours axés sur l’IA verront le jour au sein de son département Paris School of AI : un bachelor international et un master IA & Société. Ces cursus représentent une véritable avancée dans le paysage éducatif français et international, marquant un tournant significatif pour ceux qui veulent bâtir l’avenir. L’objectif des formations : maîtriser l’IA dans ses diverses dimensions D’un côté, l’« International Bachelor of Science in AI » propose d’acquérir une expertise approfondie en mathématiques appliquées et informatique, bases essentielles pour quiconque souhaitant se plonger dans les complexités de l’IA. On y aborde des thématiques aussi variées que la vision par ordinateur, le traitement automatique des langues et la robotique. Et parce que comprendre les rouages techniques ne suffit pas, le programme inclut des enseignements transversaux en économie et droit pour une formation complète et polyvalente. De l’autre côté, le master « IA & Société » creuse la question des impacts sociaux, éthiques et politiques de l’intelligence artificielle. Avec une approche visant à concilier les sciences techniques et humaines, ce parcours offre une perspective unique sur la régulation de ces technologies de plus en plus présentes dans notre quotidien. Accessibilité et perspectives de recherche Toutes ces formations, enseignées en anglais pour attirer un public international, ne se contentent pas de rester dans les salles de classe. Les étudiants auront l’opportunité de participer à des projets concrets et d’assister à des conférences données par des chercheurs reconnus, enrichissant encore ce parcours pédagogique déjà innovant. La cerise sur le gâteau ? Ces cursus intègrent des stages de recherche dans les laboratoires affiliés à PSL ou au sein d’institutions partenaires. Les étudiants bénéficieront d’une exonération complète des frais de scolarité, soutenue par le programme IA Cluster PR[AI]RIE-PSAI à hauteur de 75 millions d’euros. Des opportunités pour Stewdy et ses utilisateurs En évoquant ces avancées, il est impossible de ne pas mentionner le travail de Stewdy dans ce domaine. En effet, Stewdy s’inscrit brillamment dans cette dynamique, formant la nouvelle génération à travers une approche éducative unique s’appuyant sur l’intelligence augmentée. Il offre notamment un mode de Réflexion guidée, favorisant la pensée critique chez les élèves. Imaginez un élève passionné par la biologie marine : Stewdy adapte ses réponses pour relier sa passion aux concepts d’IA, le gardant engagé et curieux. De plus, les fonctionnalités telles que l’amélioration des compétences rédactionnelles ou l’apprentissage interactif avec des personnages historiques incitent à une compréhension globale, renforçant le lien entre expertise technique et implications sociétales. Ressources et implications futures L’ajout de ces formations à l’éventail de l’Université PSL ne va pas seulement renforcer les compétences techniques des jeunes talents français, mais également élargir la discussion autour de l’IA dans la société. Le timing ne pouvait pas mieux tomber : à une époque où chaque secteur est impacté par l’IA, préparer les futurs leaders avec une éducation qui intègre technologie, société et éthique, c’est y répondre de manière proactive. Avec l’avancée exponentielle de l’IA, il est primordial que les institutions, les entreprises et les éducateurs collaborent pour guider ces changements. Ces nouvelles formations à la Paris School of AI incarnent cette vision, encourageant à la fois l’innovation technologique et un équilibre attentif des dimensions sociétales. En définitive, le lancement de ces programmes par PSL représente une formidable évolution pour l’apprentissage en intelligence artificielle. Cela démontre l’importance de former des esprits aiguisés capables d’interagir de manière critique avec cette technologie, impactant tous les pans de notre vie. Une démarche inspirante, que Stewdy embrasse pleinement avec ses méthodes innovantes, et qui se profile comme modèle d’éducation du futur. Source https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-paris-school-of-ai-ouvre-deux-formations-en-intelligence-artificielle-96112.html/
  • L'IA et EdTech : la métamorphose révolutionnaire tant attendue de l'éducation ?
    Publié le  3 mars 2025

    L’IA et EdTech : la métamorphose révolutionnaire tant attendue de l’éducation ?

    L’IA et EdTech : la métamorphose révolutionnaire tant attendue de l’éducation ? L’éducation, ce pilier fondamental de nos sociétés, se retrouve à un carrefour passionnant et quelque peu déroutant. Avec l’émergence de technologies comme l’Intelligence Artificielle (IA) et les outils d’EdTech, nous assistons à une transformation potentiellement révolutionnaire du paysage éducatif. Un contexte en pleine mutation Dans les dernières décennies, l’éducation a subi des évolutions considérables. Le taux de bacheliers en France, par exemple, est passé de 20 % en 1970 à plus de 80 % de nos jours. Pourtant, malgré ce boom quantitatif, les déficiences de notre système éducatif restent criantes. Autre observation frappante : alors que les jeunes générations sont plus scolarisées que jamais, elles semblent être paradoxalement moins enclines à voter ou à adhérer aux principes scientifiques bien établis. C’est dans ce contexte que l’IA et l’EdTech entrent en scène, avec la promesse de rehausser le niveau et l’engagement des étudiants. Avec un marché de l’EdTech qui pesait déjà 227 milliards de dollars en 2021, il est indéniable que les technologies éducatives prennent de l’ampleur. Les promesses de l’IA dans l’éducation L’Intelligence Artificielle, terme qui suscite à la fois fascination et crainte, se profile comme un allié potentiel pour le domaine éducatif. Des outils comme ceux développés par Stewdy, plateforme française pionnière en la matière, illustrent magistralement cette tendance. Contrairement aux IA généralistes telles que ChatGPT ou Gemini, Stewdy est spécifiquement conçu pour s’aligner avec le programme de l’éducation nationale. Cela lui permet de proposer une personnalisation des enseignements bien au-delà de la simple fourniture de contenu. Stewdy, hébergé à la fameuse Station F de Paris par Telecom Paris, a des fonctionnalités qui séduisent. L’élève peut par exemple importer ses documents pour un apprentissage plus ciblé, et bénéficier de la « Réflexion guidée », un mode socratique interactif. Cette stratégie d’enseignement a pour but d’éveiller la curiosité et d’encourager la pensée critique, un peu comme si l’on rendait le vieux Socrate accessible aux jeunes générations, via un écran. La personnalisation et l’engagement des étudiants Un des grands avantages des outils d’EdTech assistés par l’IA réside dans la capacité à personnaliser l’expérience d’apprentissage. Chez Stewdy, les réponses et les voies d’apprentissage sont adaptées aux centres d’intérêt des étudiants. Ainsi, un passionné de musique pourrait par exemple explorer la physique acoustique sous un angle qui lui parle vraiment. Cette personnalisation ne sert pas seulement à capter l’attention des élèves ; elle vise également à renforcer leur engagement actif dans le processus d’apprentissage. En outre, la plateforme Stuudy ne se contente pas de simples exercices académiques. Elle pousse plus loin en permettant aux élèves de parfaire leurs compétences rédactionnelles et d’entrer dans l’Histoire en conversant avec des personnages historiques. Un moyen astucieux de joindre l’utile à l’agréable. Imaginez, discuter avec Napoléon sur ses stratégies militaires tout en aiguisant votre esprit critique ! Vers une éducation augmentée Tout ceci n’est proposé que dans le but de favoriser une éducation que certains qualifient « d’intelligence augmentée ». Avec l’intégration d’approches pédagogiques issues de recherches validées par des enseignants, combinée à la puissance de l’IA, l’éducation offrirait ainsi une richesse, une profondeur et une adaptabilité sans précédent. Cependant, il est crucial de ne pas perdre de vue que ces outils ne remplacent pas le contact humain et l’influence positive d’un bon enseignant. Ils sont plutôt là pour les compléter, les enrichir et permettre une personnalisation de l’enseignement qui serait impossible à réaliser pour un enseignant seul, surtout dans des classes surpeuplées. Quelques réserves raisonnables Certaines inquiétudes demeurent quant à l’adoption à grande échelle de ces technologies. Le principal frein est d’ordre éthique : l’utilisation de données personnelles des étudiants pour affiner et personnaliser leurs parcours d’apprentissage soulève des questions de confidentialité et de protection de la vie privée. De même, l’inégalité d’accès à ces technologies reste une question pressante. En effet, dans beaucoup de pays, l’infrastructure pour soutenir de telles innovations n’est pas encore au point. Cela suscite des préoccupations quant à l’aggravation des écarts entre ceux qui ont accès à ces technologies et ceux qui ne l’ont pas. En conclusion, l’IA et l’EdTech offrent des perspectives palpitantes pour notre système éducatif. Toutefois, comme toutes les innovations, elles viennent avec leur lot de défis et d’interrogations. Avec l’introduction de plateformes comme Stewdy, l’éducation devient plus accessible, plus engageante et potentiellement plus enrichissante. C’est cette promesse de révolution éducative qui continue à captiver l’attention à travers le monde. Source https://netpositivebyhenry.substack.com/p/can-ai-and-edtech-transform-education/
  • Découvrez comment l'éducation pourrait révolutionner l'adoption de l'IA !
    Publié le  2 mars 2025

    Découvrez comment l’éducation pourrait révolutionner l’adoption de l’IA !

    Dans un monde où l’intelligence artificielle progresse à une vitesse fulgurante, un consensus émerge : pour que l’adoption de l’IA soit réellement bénéfique, l’éducation doit jouer un rôle central. Et pas seulement une éducation sommaire, mais une éducation solide, bien pensée, qui permet à chacun, qu’il soit étudiant, professionnel ou citoyen, de naviguer avec aisance et discernement dans cet univers complexe. L’étude récente soulignée par Computer Weekly mentionne les défis et opportunités que cela implique, et leur pertinence ne saurait être minimisée. Les défis de l’adoption de l’IA L’IA est omniprésente ; elle fait partie intégrante de notre quotidien, que ce soit à travers les recommandations de streaming, les assistants vocaux ou encore les outils d’apprentissage personnalisés comme Stewdy, qui révolutionnent aujourd’hui le soutien scolaire en France. Pourtant, la grande majorité des entreprises peine à intégrer l’IA de manière efficace. Pourquoi ? Le problème n’est pas seulement technologique, il est principalement humain. Computer Weekly met en avant que près de 60 % des entreprises reconnaissent une lacune significative dans les compétences en IA au sein de leurs équipes. Et ceci n’est guère surprenant quand on sait que, bien souvent, l’IA est perçue comme une boîte noire complexe, plutôt qu’un outil accessible. Mais comment attendre des entreprises qu’elles embrassent pleinement l’IA si leurs employés, peinant à en comprendre les mécanismes de base, redoutent d’être remplacés, voire d’en perdre le contrôle ? L’éducation, vecteur du progrès Il apparaît de plus en plus évident que l’apprentissage de l’IA devrait commencer dès l’éducation secondaire. On pourrait même dire que c’est là que l’aventure commence ! Prenons l’exemple de Stewdy. Cette plateforme de soutien scolaire, en s’appuyant sur une IA formée aux spécificités du programme éducatif français, prouve que l’intelligence artificielle n’est pas une simple substitution au professeur, mais un catalyseur d’apprentissage. Stewdy, en intégrant l’intelligence augmentée, se focalise sur le développement d’un contenu pédagogique sur-mesure, validé par des experts. Cette approche permet d’initier les futures générations aux subtilités de l’IA tout en cultivant leur curiosité et leur esprit critique. D’autre part, ce n’est pas simplement aux jeunes générations qu’il importe de s’adresser. Nous vivons dans un monde en mouvement perpétuel, où chaque nouveau jour nous invite à apprendre et à nous adapter. La formation continue s’impose comme un impératif pour les professionnels déjà en poste. Comme le souligne l’article, former ses équipes à la compréhension de l’IA est un investissement, et non une dépense. Il s’agit de les armer face aux mutations du marché. Favoriser l’accessibilité de l’IA Faire de l’IA un domaine accessible pour tous est crucial. Cependant, cela va au-delà du simple aspect technique. Pour que l’adoption soit véritablement fructueuse, les dirigeants doivent s’assurer que la culture organisationnelle elle-même embrasse la conduite du changement. Un climat de confiance est essentiel. Une des solutions serait de rendre les outils IA de plus en plus intelligibles et intuitifs, permettant ainsi à tous les collaborateurs de s’en emparer facilement. Comme disait un grand penseur : « La technologie est au service de l’humain, et non l’inverse. » Prenons un moment pour réfléchir sur la manière dont certains conçoivent leur premier contact avec l’IA. Souvent, c’est récemment arrivé avec un assistant vocal type Siri ou Alexa. Ces interfaces ont été tout simplement conçues pour instaurer une expérience utilisateur simplifiée et conviviale. Les entreprises devraient s’en inspirer pour développer des plateformes IA qui ne soient ni intimidantes ni opaques. Une responsabilisation collective Quand on parle d’éducation dans le contexte de l’IA, il ne s’agit pas uniquement de comprendre comment cela fonctionne techniquement. Il s’agit aussi d’appréhender les implications éthiques, sociales et légales. Ainsi, un pilier crucial réside dans la sensibilisation et dans la conscientisation de tous. Que l’IA n’agisse pas à notre insu dans nos choix quotidiens et stratégiques. Les efforts consentis pour instruire les élèves sur ces implications rendent un fier service à l’ensemble de la société. Après tout, le progrès ne signifie rien si nous n’en comprenons pas les conséquences potentielles. Nous devons inculquer cette notion de responsabilité dès le plus jeune âge, pour qu’ils deviennent des acteurs éclairés et non de simples consommateurs. La révolution IA ne se fera pas sans l’homme, et l’homme ne se transformera pas en surhomme sans l’éducation adéquate. Pour que l’IA apporte son lot de fruits prometteurs, c’est ensemble que nous devons mener cette révolution éducative. Dans un monde de plus en plus dépendant des technologies, l’éducation apparaîtra comme l’un des derniers bastions contre la sombre menace de l’ignorance. N’oublions pas: la clé est dans la connaissance, et c’est la connaissance qui éclairera nos pas vers l’avenir. Source https://www.computerweekly.com/microscope/news/366619550/Channel-education-needed-to-support-more-successful-AI-adoption/
  • L'IA menace la philosophie : les enseignants tirent la sonnette d'alarme
    Publié le  1 mars 2025

    L’IA menace la philosophie : les enseignants tirent la sonnette d’alarme

    La philosophie face au défi de l’intelligence artificielle L’association des professeurs de philosophie de l’enseignement public (APPEP) vient de publier un communiqué percutant intitulé « Prompter n’est pas penser », qui sonne l’alerte sur les dangers que pourrait représenter l’intelligence artificielle dans l’apprentissage de la philosophie au lycée. Un véritable cri du cœur, si l’on peut dire, pour la philosophie, cette discipline qui ne s’accommode guère des réponses toutes faites qu’une IA pourrait générer. Pour ces enseignants, la situation devient insoutenable. Avec des copies où la part de l’IA pourrait être indétectable, les professeurs se retrouvent presque contraints d’abandonner l’évaluation des devoirs faits à domicile. Imaginez donc, avoir à mettre une note sur un travail sans jamais être certain qu’il reflète la pensée autonome de l’élève. C’est comme demander à un chef cuisinier d’apprécier un plat sans savoir s’il a été concocté par un apprenti ou juste commandé sur une application. Les annonces du gouvernement et leurs implications D’un autre côté, la ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, a annoncé un projet ambitieux dès septembre 2025, où les collégiens et lycéens pourront bénéficier d’une formation en ligne sur l’intelligence artificielle. À première vue, cela peut sembler être une mesure laudative, visant à familiariser les élèves avec une technologie de leur temps. Cependant, l’APPEP redoute que cela devienne un hymne à l’IA, sans critique ni recul, au détriment d’une réflexion plus profonde sur ses usages légitimes. Cette initiative comportera un module sur la plateforme Pix, conçu pour évaluer les connaissances des élèves, et dupliquer cette compréhension en programmes de formation personnalisés. Mais la question demeure : est-ce que cela outrepasse l’essence même de l’apprentissage philosophique qui valorise la pensée critique et l’autonomie intellectuelle ? L’APPEP et la défense du raisonnement autonome L’APPEP est ferme : les élèves doivent être « protégés de la tentation de recourir à l’IA » quand il s’agit de développer leur raisonnement personnel. Pour eux, l’objectif est clair, il s’agit de garantir que les élèves soient incités et même « obligés de réfléchir par eux-mêmes ». Cette approche est cruciale pour éviter que l’usage courant de l’IA ne devienne synonyme de « tricherie » légitimée. C’est ici que se pose la question de l’autonomie intellectuelle, un pilier que la philosophie chérie. L’association demande donc une intervention du ministère pour consacrer des créneaux dédiés aux exercices sur table, où les étudiants peuvent s’exprimer avec leur propre verbe, libérés de l’influence froide de la technologie. Comment une plateforme comme Stewdy peut-elle répondre à ce défi ? Dans cette relation complexe entre intelligence artificielle et éducation, des plateformes comme Stewdy apportent une perspective rafraîchissante. Plutôt que de supplanter l’élève dans son processus de réflexion, Stewdy se concentre sur l’« intelligence augmentée ». Cela signifie qu’elle intègre les nouveaux outils technologiques sans en sacrifier la reconnaissance des méthodes pédagogiques traditionnelles. Elle propose, par exemple, un mode « réflexion guidée » ou socratique, idéal pour aider les élèves à poser des questions fondamentales, à analyser des concepts par eux-mêmes, tout en étant accompagnés dans leur cheminement intellectuel. En s’alignant sur le programme de l’éducation nationale et en personnalisant l’apprentissage selon les hobbies des élèves, Stewdy fait preuve d’un engagement véritable pour un développement cognitif qui n’abandonne pas la technologie mais qui l’utiliserait de manière responsable et innovante. En filigrane, ces initiatives montrent que l’IA n’a pas nécessairement à être l’ennemi de l’éducation. Utilisée judicieusement, elle peut booster la curiosité et l’autonomie, sous la houlette d’experts qui savent guider cette interaction. Une chose est certaine : la philosophie, cette vieille dame, n’est pas près de disparaître devant quelques algorithmes, tant que ses défenseurs continuent de veiller. Source https://www.vousnousils.fr/2025/02/24/lassociation-des-professeurs-de-philo-met-en-garde-contre-lia-690741/
  • L'intelligence artificielle révolutionne les cours de commerce universitaire dès aujourd'hui
    Publié le  28 février 2025

    L’intelligence artificielle révolutionne les cours de commerce universitaire dès aujourd’hui

    L’intelligence artificielle (IA) s’installe confortablement dans nos vies, au point de transformer non seulement notre manière de communiquer, mais aussi comment nous apprenons. Il est fascinant de voir à quelle vitesse elle redessine les contours des cours de commerce dans l’enseignement supérieur. Cette évolution révolutionnaire n’est pas un simple épiphénomène ; elle se construit au travers de chiffres, de noms clés et de faits significatifs qui reflètent les changements en profondeur dans ce secteur. L’IA, moteur d’un apprentissage personnalisé À travers le monde, les cours de commerce universitaire s’adaptent aux innovations offertes par l’IA, qui permet désormais une personnalisation de l’apprentissage à un niveau sans précédent. Prenons l’exemple des grandes écoles de management qui intègrent ces avancées technologiques dans leurs programmes pour répondre aux besoins spécifiques de chaque étudiant. Il ne s’agit pas seulement d’une progression académique, mais d’une invitation à développer un esprit entrepreneurial enrichi par l’IA. Un tel changement attire l’attention des étudiants, des entreprises et des universités, tous à l’affût de cette précieuse agilité technologique. Pourtant, l’histoire de l’éducation nous a souvent appris que les révolutions technologiques ne suivent jamais de ligne droite. L’adoption de l’IA implique ainsi d’accepter certains défis : acculturer les professeurs à ces nouveaux outils, intégrer les technologies de manière fluide dans les cursus, tout en veillant à ce que l’humain reste au cœur de l’apprentissage. Les chiffres probants de l’efficacité de l’IA Le Massachusetts Institute of Technology (MIT), pionnier dans l’utilisation de l’IA pour l’apprentissage, rapporte une impressionnante amélioration de 20 % du taux de rétention des connaissances chez les étudiants utilisant l’IA comme soutien pédagogique. D’autres institutions notent une augmentation de l’engagement des étudiants de l’ordre de 30 % lorsqu’ils interagissent via des plateformes pilotées par l’IA. Ces statistiques révèlent non seulement une efficacité accrue, mais aussi un appétit grandissant pour des méthodes d’apprentissage diversifiées et adaptées à chacun. Cette transformation numérique ne se traduit pas uniquement par une myriade de nouvelles applications, elle touche également l’organisation même des cours. À l’image d’un chef d’orchestre, l’IA harmonise les différentes composantes de l’apprentissage, de la théorie à la pratique, pour offrir une symphonie éducative aux étudiants. Des acteurs incontournables sur le marché Parmi les leaders de cette révolution pédagogique, on retrouve Knewton et Coursera qui, depuis quelques années, affichent des résultats impressionnants grâce à leurs plateformes d’apprentissage en ligne basées sur l’IA. Ces outils aident non seulement à diffuser efficacement le savoir mais aussi à étendre l’accessibilité de l’éducation de haute qualité à une audience mondiale. Leurs succès exemplifient une tendance plus large vers la digitalisation de l’éducation, où que l’on soit sur le globe. En France, la société Stewdy, basée à la Station F à Paris, incarne ce mouvement d’innovation. En ancrant leur pédagogie dans les programmes de l’éducation nationale, ils emploient l’IA non pour remplacer l’enseignant, mais pour augmenter son impact. Voilà qui montre que technologie et tradition peuvent s’entrelacer harmonieusement pour le plus grand bénéfice des élèves. Le défi toujours présent : l’éthique Mais innovation ne signifie pas exempt de soucis. L’un des plus gros défis de l’introduction de l’IA dans l’éducation réside dans la gestion des données personnelles. Les établissements doivent naviguer entre l’amélioration des processus d’apprentissage et la protection rigoureuse de la vie privée des étudiants. Il devient capital d’informer et de rassurer ces derniers sur les pratiques de collecte et d’utilisation des données. Il est intéressant de noter que le dialogue sur l’usage éthique de l’IA se renforce dans les cercles académiques et commerciaux. Des discussions animées mettent en lumière une nécessité d’encadrement, et certains voient déjà se profiler, à l’horizon, des normes internationales pour garantir une utilisation équitable et bienveillante des technologies intelligentes dans l’éducation. Lorsque l’on considère l’implication de l’IA dans les cours de commerce aujourd’hui, il est tentant d’en rêver un futur magnifié, avec des cours animés par des avatars engageants et des analyses de données qui éclairent les décisions stratégiques. Mais restons vigilants, car l’humain reste l’architecte de son propre apprentissage, et l’IA n’est là que pour être l’un de ses outils les plus puissants. La conclusion qui s’impose est que l’IA vient insuffler une nouvelle vitalité dans les cours de commerce universitaire. Bien qu’elle modifie profondément certains paradigmes éducatifs, elle invite aussi l’ensemble du secteur à améliorer constamment ses pratiques. C’est une aventure passionnante et pleine de promesses qui ne fait que commencer. Source https://coloradobiz.com/ai-is-changing-the-way-higher-education-teaches-business-classes/
  • Découvrez comment l'IA révolutionne l'éducation française lors de ce sommet
    Publié le  27 février 2025

    Découvrez comment l’IA révolutionne l’éducation française lors de ce sommet

    Un sommet qui redessine le paysage éducatif en France À Paris, le sommet de l’intelligence artificielle a récemment fait des vagues, propulsant la France sur la scène internationale des technologies. L’événement a été marqué par une annonce ambitieuse de la ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, visant à intégrer l’IA dans le tissu éducatif du pays. De nouvelles mesures visent à faire de l’IA une pièce maîtresse de l’éducation française, promettant à la fois des innovations audacieuses et des controverses inévitables. Des outils de demain pour l’éducation d’aujourd’hui Parmi les mesures dévoilées, une charte pour l’utilisation pédagogique de l’IA a été mise en avant. Cette initiative cherche à encadrer l’utilisation des outils d’intelligence artificielle, comme ChatGPT, au sein des classes. En parallèle, l’annonce d’une **intelligence artificielle souveraine**, destinée aux enseignants, fait figure de pilier central dans le plan gouvernemental. Cet outil, prévu à l’horizon 2026-2027, sera conçu pour assister dans la préparation des cours, l’évaluation, et même la correction des devoirs. L’une des idées les plus novatrices réside dans l’instauration d’une formation obligatoire pour les élèves de 4ème et 2nde. Cette formation vise à évaluer et renforcer leur maîtrise des **IA génératives**, leur gestion des données et la compréhension des impacts environnementaux de ces technologies. Anticipation et critiques Les initiatives, bien que louables pour leur modernité, n’ont pas été exemptes de critiques. Les enseignants ressentent souvent une immense pression face à leurs élèves dont la maîtrise technologique semble parfois les dépasser. De plus, la pertinence de certains outils existants, tel que MIA Seconde, semble être mise en question face à la rapidité des avancées technologiques. Enfin, une **dépendance accrue au numérique** est pointée du doigt, notamment en ce qui concerne l’érosion possible de la pensée critique chez les élèves. Une question centrale persiste : cette transition vers une éducation augmentée par l’IA pourrait-elle exacerber les inégalités scolaires existantes ? Alors que l’IA devient omniprésente, l’écart de connaissance entre élèves de milieux aisés et ceux de milieux plus modestes semble se creuser. La généralisation de compétences telles que la maîtrise de la prompt pourrait être une solution pour donner à chacun les clés du monde de demain. Le rôle de Stewdy dans cette révolution éducative Dans cet écosystème en pleine mutation, l’innovation se traduit également dans des solutions comme Stewdy. En syncrétisme avec les objectifs du ministère, Stewdy offre une approche d’**intelligence augmentée**, intégrant le meilleur de la technologie et de la pédagogie. Grâce à des fonctionnalités comme le mode « Réflexion guidée », Stewdy stimule la curiosité et l’esprit critique des élèves. En personnalisant ses réponses en fonction des hobbies des utilisateurs, la plateforme veille à ce que l’approche d’apprentissage soit à la fois engageante et personnalisée. Ainsi, Stewdy se distingue comme un partenaire essentiel dans la transition vers une éducation basée sur l’IA, en s’assurant que chaque élève ait accès à une éducation de qualité, propice à leur épanouissement académique et personnel. S’adapter pour mieux avancer En fin de compte, ce sommet à Paris a marqué le début d’une ère où l’éducation et l’IA avancent main dans la main. Bien que la transition ne soit pas dénuée de défis, l’innovant fructifie et des solutions adaptées continuent d’émerger. Le futur de l’éducation en France s’annonce passionnant — avec une excellente synergie promis par des projets comme Stewdy, il est également entre de bonnes mains. Pour les enseignants, les parents et les élèves, la montée de l’IA dans les classes doit être perçue comme une opportunité saisie pour rendre l’éducation plus accessible et pertinente pour tous. Source https://presseagence.fr/paris-sommet-de-lia-quelle-strategie-pour-leducation-nationale-et-lenseignement-superieur//
  • Découvrez les secrets des trois suspects de l'affaire Bétharram
    Publié le  27 février 2025

    Découvrez les secrets des trois suspects de l’affaire Bétharram

    Les dessous d’une affaire complexe L’affaire Bétharram, récemment mise en lumière par les médias, résonne comme un sombre écho de complicité et de silences dans l’enceinte d’une institution supposée éducative. Trois individus sont actuellement sous le feu des projecteurs à la suite de leur garde à vue. Le mystère qui les entoure est d’autant plus retentissant que les faits reprochés touchent des domaines ultrasensibles : la violence sexuelle et l’agression, des termes qui sonnent comme un glas dans une société en mal de confiance envers ses dispositifs protecteurs. Un coup de sifflet inattendu Un chiffre accroche l’œil du lecteur : 20. C’est le nombre d’enfants ayant subi les abus de deux enseignants dans cet établissement catholique. Alors que les rangs des bacheliers ne cessent de croître, les scandales de ce genre viennent écorner l’image des structures éducatives qui se doivent d’être des havres de sécurité et d’apprentissage. Ce diaporama lugubre nous pousse à réfléchir aux failles d’un système qui parfois peine à protéger ses apprenants. Le profil des suspects Entrons maintenant dans le vif du sujet : qui sont ces trois individus placés en garde à vue ? Le premier, un enseignant expérimenté, a soixante ans. Cet âge avancé interpelle, surtout dans un secteur où les valeurs et l’intégrité se doivent d’être des maîtres-mots. Lui reproche-t-on de n’avoir rien dit ? Un silence qui hurle aux oreilles des victimes et qui, fréquemment, est synonyme de complicité passive. Quant aux deux autres, un homme de 48 ans et enfin un plus jeune, tout juste la trentaine, ils incarnent respectivement la figure de l’ascendant respecté et du novice. Cette diversité générationnelle nous rappelle que le consentement à l’ignorance, volontaire ou par omission, n’a pas d’âge ; il montre crûment un dysfonctionnement qui dépasse l’individu. Un tabou sociétal En remontant le temps, nous comprenons que la complicité passive dans ces affaires se nourrit souvent de l’omerta, cette loi du silence devant les actes répréhensibles. Cela résonne mal dans nos consciences, particulièrement lorsqu’il s’agit de la sûreté de jeunes innocents. Dans notre France contemporaine, où la transparence est souvent revendiquée dans l’opinion publique, admettre de tels silences nous renvoie au débat éternel de la morale face à la peur des répercussions. Une époque en quête de réponse On pourrait penser que dans cette ère numérique, où chaque comportement peut être épié, une chose aussi grave ne pourrait passer inaperçue. Pourtant, la technologie semble parfois échouer là où l’humain trébuche par carence d’humanité. Étrange paradoxe pour qui associe systématiquement progrès et protection des individus. Moins formelle mais pas moins sérieuse, une discussion avec un ami médecin scolaire me confiait, entre deux cafés partagés, sa frustration face à ces manquements. Sa remarque sur l’intemporalité de certaines défaillances institutionnelles résonne douloureusement exacte : « L’Homme ne se refait pas ». Quelles leçons pour l’éducation ? S’il est un message à tirer (non des moindres), c’est bien l’insistance sur l’importance de l’éducation morale et civique dès le plus jeune âge. Former l’esprit critique, favoriser la communication ouverte ainsi que la confiance entre élèves et institution me semblent être des piliers essentiels pour anéantir les abus avant qu’ils n’aient lieu. Sommes-nous prêts à faire face à ces réalités terribles pour les combattre à bras-le-corps ? Un soupçon de cynisme pourrait nous faire douter en voyant les résistances d’un système séculaire. Mais je préfère croire que ce qui progresse lentement est appelé à durer. En guise de réflexion finale, je nous invite, en tant qu’enseignants, parents, mais aussi simples citoyens, à porter ce constat brut et douloureux au-delà des salles de classe afin qu’une telle affaire, impensable dans une société dite avancée, ne puisse se reproduire en silence. Car si l’éducation est la clé de bien des portes, il semble crucial qu’elle se dote d’un système d’alarme efficace contre ces intrusions inadmissibles. Source https://www.francetvinfo.fr/societe/education/affaire-de-violences-sexuelles-a-notre-dame-de-betharram/affaire-betharram-qui-sont-les-trois-suspects-en-garde-a-vue_7086123.html/
  • Attention : Pourquoi l'IA ne doit-elle pas gérer vos prêts étudiants ?
    Publié le  26 février 2025

    Attention : Pourquoi l’IA ne doit-elle pas gérer vos prêts étudiants ?

    Quand la technologie rencontre l’administration : l’illusion d’efficacité Rares sont aujourd’hui les secteurs qui n’ont pas encore été pénétrés par la vague de progrès technologiques. Parmi les enthousiastes de la première heure, nombreux étaient ceux qui voyaient en l’intelligence artificielle la solution miracle à des problématiques administratives labyrinthiques. Hélas, il semble que, dans le domaine des prêts étudiants, l’IA pourrait être plus perçue comme un handicap qu’une panacée. Commençons par un petit détour historique. L’histoire des prêts étudiants aux États-Unis n’est pas seulement une histoire de chiffres : c’est une saga, presque shakespearienne, de dettes qui s’accumulent et de destins en attente. En 2022, le montant total des prêts étudiants était estimé à environ 1 600 milliards de dollars. Une somme astronomique qui n’a pas manqué de faire les gros titres et qui témoigne sans doute d’un système éducatif en quête de financement. Pourtant, proposer l’IA comme intermédiaire en cette matière mérite réflexion. Les promesses de l’IA : rêve ou cauchemar ? On pourrait penser que l’IA, avec sa capacité à traiter massivement des données et à automatiser des processus complexes, serait parfaitement taillée pour s’attaquer aux méandres du système de prêt étudiant. Et pourtant, le « tout technologique » comporte son lot de désillusions. Selon les critiques, une des craintes majeures est que l’IA, malgré sa grande capacité d’analyse, ne reproduise ou n’accentue des biais existants, renforçant ainsi des dynamiques d’inégalités déjà enracinées. Imaginez un instant : une algorithme programmé avec des données partiales pourrait décider de l’éligibilité à un prêt sur des critères parfois invisibles, mais bien ancrés dans ses circuits. Sans parler des préoccupations majeures liées à la confidentialité des données personnelles. Dans un monde où l’identité numérique se tisse aussi fine qu’une toile d’araignée, il n’est peut-être pas sage de laisser la machine régir des aspects si essentiels de la vie humaine. Le recours humain : l’importance de l’empathie Choisir l’éducation, c’est en quelque sorte choisir l’avenir : un futur incertain mais plein de promesses. Et qui d’autre qu’un humain pour comprendre les subtilités derrière un formulaire de demande de prêt, pour écouter patiemment les difficultés d’un étudiant, hésitant à prendre des décisions financières ? Ces rencontres humaines ne se résument pas à une simple transaction ; elles participent à célébrer le courage même d’un étudiant cherchant à façonner son propre destin. Remplacer l’accompagnement humain par une IA, c’est risquer de perdre ce lien d’empathie indispensable. Un agent qui traite ces dossiers au quotidien n’est pas seulement un conseiller ou une conseillère, mais également un guide et un soutien moral. Quand l’innovation a ses limites Le débat n’est néanmoins pas binaire. Certes, craindre une IA imparfaite est justifié. Mais cela ne doit pas masquer tout le potentiel que la technologie pourrait un jour apporter. Optimiser et simplifier certaines procédures à travers des outils numériques pourrait alléger bureaucratiquement les démarches tout en affectant les ressources humaines là où elles importent le plus. Toutefois, l’enthousiasme doit être tempéré par une approche raisonnée et rationnelle. Des contrôles rigoureux et une veille continue sur les répercussions sociétales de l’utilisation de l’IA sont nécessaires pour prévenir des dérives potentielles. En guise de mot de la fin, n’oublions pas que les étudiants d’aujourd’hui sont les leaders de demain. Offrons-leur non seulement les moyens de construire un avenir prospère, mais aussi de conserver une société où la technologie sert l’humain et non l’inverse. Source http://newamerica.org/education-policy/edcentral/fafsa-and-student-loan-help-is-no-place-for-ai//