Décorer une figure éminente de l’éducation, c’est comme mettre en lumière l’effort soutenu et discret qui façonne l’avenir. C’est exactement ce qu’a fait Jean-Michel Blanquer, ancien ministre de l’Éducation nationale, en honorant Lilia Parisot, une Niçoise au parcours exemplaire, en la décorant du grade d’officier des Palmes académiques. Vous voyez, de telles récompenses ne sont pas distribuées comme des petits pains. Elles sont le couronnement d’années de dévouement et d’un impact.
Quand j’ai découvert cette histoire, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à toutes les personnes qui travaillent dans l’ombre pour améliorer notre système éducatif. Imaginez un peu… Précédemment cheffe de cabinet de la rectrice et directrice de la communication pour l’académie de Nice, Lilia Parisot a joué un rôle significatif en tant que référente pour les Alpes-Maritimes au sein du Laboratoire de la République, présidé par Jean-Michel Blanquer. Cela vous semble impressionnant ? Attendez un peu que je vous en dise plus !
La cérémonie, qui a été reportée plusieurs fois à cause de la pandémie de COVID-19, a finalement eu lieu à la Maison de l’Amérique Latine à Paris. Des figures remarquables étaient présentes, comme Hager ben Aouissi, fondatrice d’Une Voie des enfants, et Nora Tirane, présidente de l’association Marion Fraisse La Main tendue. Ces deux femmes ont, elles aussi, œuvré pour des causes qui parlent au cœur : soutenir les enfants victimes de l’attentat de Nice et lutter contre le harcèlement scolaire. Pas besoin d’être devin pour comprendre que l’émotion était palpable cette journée-là.
Lors de son discours, Lilia Parisot n’a pas hésité à insister sur les défis actuels dans l’éducation : l’inclusion, la lutte contre l’exclusion et le harcèlement. Ces sujets sont sur toutes les lèvres et pourtant, comme elle le soulignait, les combats ne sont pas encore gagnés. Elle a dit, et je cite : « Après toutes ces années dans l’Éducation nationale, je constate que ces luttes ne sont pas simples et le chemin est encore long. » Cela m’a fait réfléchir à mes propres années d’école, lorsqu’on pensait parfois naïvement que tout était réglé d’un tour de baguette magique.
Même à la retraite, son engagement ne s’essouffle pas. Lilia Parisot est déterminée à partager son expérience et à travailler main dans la main avec des associations pour faire avancer ces causes. C’est un rappel inspirant que le progrès est une œuvre collective. Seule, elle pourrait accomplir beaucoup, mais ensemble, nous sommes inarrêtables.
Ce qui me fascine, c’est l’idée que de tels événements ne sont pas seulement des occasions de remise de médailles. Ils sont une reconnaissance tangible que le travail acharné et le dévouement peuvent faire de l’ombre aux tempêtes politiques ou aux crises sanitaires. Et pendant que certains s’envolent pour les bureaucraties complexes, d’autres continuent de combattre le harcèlement en milieu scolaire, un problème qui touche encore trop de jeunes aujourd’hui.
En France, alors que nous recycletons souvent les vieilles rengaines sur l’enseignement et ses défis sans fin, l’histoire de Lilia Parisot redonne un peu foi. C’est une piqûre de rappel que des gens formidables sont vraiment au front, travaillant au jour le jour pour permettre à chaque enfant de trouver sa place dans un monde pas toujours tendre.
Au final, que ce genre d’histoire apparaisse plus souvent ! Elles ont le don de faire briller une lueur d’espoir, un rappel que l’on peut encore reconstruire et réorganiser l’éducation avec des gens comme Lilia Parisot en tête de file. Sa passion pour l’éducation et son rôle actif même à la retraite joue comme un bon vieux film – on connaît les scènes, mais cela nous touche toujours profondément.
